L’air frais extérieur est admis à l’intérieur du bâtiment en même temps que l’air intérieur vicié est évacué. Nos ingénieurs font les calculs selon les normes en vigueur afin de s’assurer de souffler le débit requis en tenant compte de l’efficacité de distribution d’air et de l’évacuation d’air requise dans les locaux.
Exemple de cas
Le système actuel a été mesuré à 6 000 CFM. L’air frais requis est de 10 000 CFM.
Dans cette mesure, nous proposons d’installer un système d’apport d’air neuf de 10 000 CFM afin de :
- remettre la ventilation aux normes; et
- améliorer le confort des occupants.
L’unité de ventilation sera de marque BKM ou équivalent de 10 000CFM. Cette unité récupère l’énergie contenue dans l’air évacué du bâtiment afin de préchauffer l’air frais (voir schémas ci-dessous).
La récupération d’énergie peut aller jusqu’à 90 %. Cette mesure permettra d’économiser 68 153 m3 de gaz naturel, ou 33 265 $ de façon annuelle.
Justification des économies
- Le chauffage économisé est l’équilibre entre le refroidissement naturel par l’air extérieur et la production de chaleur interne.
- L’énergie non dépensée par les ventilateurs du refroidisseur de liquide est négligeable.
- Le rejet de chaleur permet d’augmenter la température de l’air neuf de 55° F (30° C).
- Le principal avantage de ce système est son potentiel de récupération de chaleur et de réduction des coûts de chauffage.
Effet sur l’entretien et l’exploitation
Le nouvel équipement branché au réseau existant sera entretenu en même temps que les composantes existantes.
Effets sur la qualité de l’environnement (intérieur et extérieur)
- Ajustement du débit d’air selon les normes
- Amélioration de la qualité d’air.
- Reduction des GES